samedi 31 octobre 2015
Reçu de Dorian Ribas Marinho
" ...
Ma pensée est une insensée
Qui s’égare dans les roseaux
Aux chants des eaux et des oiseaux,
Ma pensée est une insensée.
Les roseaux font de verts réseaux,
Lotus sans tige sur les eaux
Ma pensée est une insensée
Qui s’égare dans les roseaux.
Qui s’égare dans les roseaux
Aux chants des eaux et des oiseaux,
Ma pensée est une insensée.
Les roseaux font de verts réseaux,
Lotus sans tige sur les eaux
Ma pensée est une insensée
Qui s’égare dans les roseaux.
..."
Charles Cros, Le collier de griffes
Dorian est un artiste Brésilien pour lequel vous trouverez plus d'infos ici
Thanks for Visual Poetry Dorian
vendredi 30 octobre 2015
Pour Esther Kamkar
" On dit que tous les chemins mènent à Rome,
je dis que chaque chemin s’envoie en l’air
il faut bien qu’ils s’amusent aussi, bonhommes
à feindre l’orgasme demain mais surtout hier
tortueux et sinueux ils lancent des ficelles
qu’on suit ou pas qu’on dicte ou non et
tentés de se teindre de se maquiller de rimmel
poussent le vrai aux fonds étiolés
je dis que chaque chemin s’envoie en l’air
il faut bien qu’ils s’amusent aussi, bonhommes
à feindre l’orgasme demain mais surtout hier
tortueux et sinueux ils lancent des ficelles
qu’on suit ou pas qu’on dicte ou non et
tentés de se teindre de se maquiller de rimmel
poussent le vrai aux fonds étiolés
..."
Vlad Negrescu
Reçu de Dani
" Une Tortue était, à la tête légère,
Qui, lasse de son trou, voulut voir le pays,
Volontiers on fait cas d'une terre étrangère :
Volontiers gens boiteux haïssent le logis.
Deux Canards à qui la commère
Communiqua ce beau dessein,
Lui dirent qu'ils avaient de quoi la satisfaire :
Voyez-vous ce large chemin ?
Nous vous voiturerons par l'air en Amérique .
Vous verrez mainte république,
Maint royaume, maint peuple ; et vous profiterez
Des différentes mœurs que vous remarquerez.
Ulysse en fit autant. On ne s'attendait guère
De voir Ulysse en cette affaire.
..."
La Fontaine La tortue et les deux canards
Qui, lasse de son trou, voulut voir le pays,
Volontiers on fait cas d'une terre étrangère :
Volontiers gens boiteux haïssent le logis.
Deux Canards à qui la commère
Communiqua ce beau dessein,
Lui dirent qu'ils avaient de quoi la satisfaire :
Voyez-vous ce large chemin ?
Nous vous voiturerons par l'air en Amérique .
Vous verrez mainte république,
Maint royaume, maint peuple ; et vous profiterez
Des différentes mœurs que vous remarquerez.
Ulysse en fit autant. On ne s'attendait guère
De voir Ulysse en cette affaire.
..."
La Fontaine La tortue et les deux canards
Merci Dani pour cet envoi du fabuleux fabuliste !
jeudi 29 octobre 2015
Pour Russell Manning
« Il
l'emparouille et l'endosque contre terre ;
Il
le rague et le roupète jusqu'à son drâle ;
Il
le pratèle et le libucque et lui barufle les ouillais ;
Il
le tocarde et le marmine,
Le
manage rape à ri et ripe à ra.
Enfin
il l'écorcobalisse.
L'autre
hésite, s'espudrine, se défaisse, se torse et se ruine.
C'en
sera bientôt fini de lui ;
Il
se reprise et s'emmargine... mais en vain.
Le
cerceau tombe qui a tant roulé.
Abrah
! Abrah ! Abrah !
Le
pied a failli !
Le
bras a cassé !
Le
sang a coulé !
Fouille,
fouille, fouille,
Dans
la marmite de son ventre est un grand secret
Mégères
alentour qui pleurez dans vos mouchoirs ;
On
s'étonne, on s'étonne, on s'étonne
Et
vous regarde,
On
cherche aussi, nous autres, le Grand Secret.»
Henri Michaux Le grand Combat
Il l’emparouille et l’endosque contre terre ;
Il le rague et le roupète jusqu’à son drâle ;
Il le pratèle et le libucque et lui barufle les ouillais ;
Il le tocarde et le marmine,
Le manage rape à ri et ripe à ra.
Enfin il l’écorcobalisse.
L’autre hésite, s’espudrine, se défaisse, se torse et se ruine.
C’en sera bientôt fini de lui ;
Il se reprise et s’emmargine... mais en vain
Le cerceau tombe qui a tant roulé.
Abrah ! Abrah ! Abrah !
Le pied a failli !
Le bras a cassé !
Le sang a coulé !
Fouille, fouille, fouille,
Dans la marmite de son ventre est un grand secret
Mégères alentour qui pleurez dans vos mouchoirs ;
On s’étonne, on s’étonne, on s’étonne
Et on vous regarde
On cherche aussi, nous autres, le Grand Secret.
- See more at: http://www.lesvoixdelapoesie.com/poemes/le-grand-combat#sthash.Sgavp2qC.dpuf
Il le rague et le roupète jusqu’à son drâle ;
Il le pratèle et le libucque et lui barufle les ouillais ;
Il le tocarde et le marmine,
Le manage rape à ri et ripe à ra.
Enfin il l’écorcobalisse.
L’autre hésite, s’espudrine, se défaisse, se torse et se ruine.
C’en sera bientôt fini de lui ;
Il se reprise et s’emmargine... mais en vain
Le cerceau tombe qui a tant roulé.
Abrah ! Abrah ! Abrah !
Le pied a failli !
Le bras a cassé !
Le sang a coulé !
Fouille, fouille, fouille,
Dans la marmite de son ventre est un grand secret
Mégères alentour qui pleurez dans vos mouchoirs ;
On s’étonne, on s’étonne, on s’étonne
Et on vous regarde
On cherche aussi, nous autres, le Grand Secret.
- See more at: http://www.lesvoixdelapoesie.com/poemes/le-grand-combat#sthash.Sgavp2qC.dpuf
Il l’emparouille et l’endosque contre terre ;
Il le rague et le roupète jusqu’à son drâle ;
Il le pratèle et le libucque et lui barufle les ouillais ;
Il le tocarde et le marmine,
Le manage rape à ri et ripe à ra.
Enfin il l’écorcobalisse.
L’autre hésite, s’espudrine, se défaisse, se torse et se ruine.
C’en sera bientôt fini de lui ;
Il se reprise et s’emmargine... mais en vain
Le cerceau tombe qui a tant roulé.
Abrah ! Abrah ! Abrah !
Le pied a failli !
Le bras a cassé !
Le sang a coulé !
Fouille, fouille, fouille,
Dans la marmite de son ventre est un grand secret
Mégères alentour qui pleurez dans vos mouchoirs ;
On s’étonne, on s’étonne, on s’étonne
Et on vous regarde
On cherche aussi, nous autres, le Grand Secret.
- See more at: http://www.lesvoixdelapoesie.com/poemes/le-grand-combat#sthash.Sgavp2qC.dpuf
Il le rague et le roupète jusqu’à son drâle ;
Il le pratèle et le libucque et lui barufle les ouillais ;
Il le tocarde et le marmine,
Le manage rape à ri et ripe à ra.
Enfin il l’écorcobalisse.
L’autre hésite, s’espudrine, se défaisse, se torse et se ruine.
C’en sera bientôt fini de lui ;
Il se reprise et s’emmargine... mais en vain
Le cerceau tombe qui a tant roulé.
Abrah ! Abrah ! Abrah !
Le pied a failli !
Le bras a cassé !
Le sang a coulé !
Fouille, fouille, fouille,
Dans la marmite de son ventre est un grand secret
Mégères alentour qui pleurez dans vos mouchoirs ;
On s’étonne, on s’étonne, on s’étonne
Et on vous regarde
On cherche aussi, nous autres, le Grand Secret.
- See more at: http://www.lesvoixdelapoesie.com/poemes/le-grand-combat#sthash.Sgavp2qC.dpuf
Il l’emparouille et l’endosque contre terre ;
Il le rague et le roupète jusqu’à son drâle ;
Il le pratèle et le libucque et lui barufle les ouillais ;
Il le tocarde et le marmine,
Le manage rape à ri et ripe à ra.
Enfin il l’écorcobalisse.
L’autre hésite, s’espudrine, se défaisse, se torse et se ruine.
C’en sera bientôt fini de lui ;
Il se reprise et s’emmargine... mais en vain
Le cerceau tombe qui a tant roulé.
Abrah ! Abrah ! Abrah !
Le pied a failli !
Le bras a cassé !
Le sang a coulé !
Fouille, fouille, fouille,
Dans la marmite de son ventre est un grand secret
Mégères alentour qui pleurez dans vos mouchoirs ;
On s’étonne, on s’étonne, on s’étonne
Et on vous regarde
On cherche aussi, nous autres, le Grand Secret.
- See more at: http://www.lesvoixdelapoesie.com/poemes/le-grand-combat#sthash.Sgavp2qC.dpuf
Il le rague et le roupète jusqu’à son drâle ;
Il le pratèle et le libucque et lui barufle les ouillais ;
Il le tocarde et le marmine,
Le manage rape à ri et ripe à ra.
Enfin il l’écorcobalisse.
L’autre hésite, s’espudrine, se défaisse, se torse et se ruine.
C’en sera bientôt fini de lui ;
Il se reprise et s’emmargine... mais en vain
Le cerceau tombe qui a tant roulé.
Abrah ! Abrah ! Abrah !
Le pied a failli !
Le bras a cassé !
Le sang a coulé !
Fouille, fouille, fouille,
Dans la marmite de son ventre est un grand secret
Mégères alentour qui pleurez dans vos mouchoirs ;
On s’étonne, on s’étonne, on s’étonne
Et on vous regarde
On cherche aussi, nous autres, le Grand Secret.
- See more at: http://www.lesvoixdelapoesie.com/poemes/le-grand-combat#sthash.Sgavp2qC.dpuf
mercredi 28 octobre 2015
Pour Ursu
Pour Ursu et son appel " Liberté "
" ...
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté."
Paul Eluard
Reçu de Demetrios Coutarelli
Thanks Demetrios ...
" Prenez un mot prenez en deux
faites les cuir’ comme des oeufs
prenez un petit bout de sens
puis un grand morceau d’innocence
faites chauffer à petit feu
au petit feu de la technique
versez la sauce énigmatique
saupoudrez de quelques étoiles
poivrez et mettez les voiles
Où voulez vous donc en venir ?
A écrire Vraiment ? A écrire ? "
Raymond Queneau Pour un art poétique
" Prenez un mot prenez en deux
faites les cuir’ comme des oeufs
prenez un petit bout de sens
puis un grand morceau d’innocence
faites chauffer à petit feu
au petit feu de la technique
versez la sauce énigmatique
saupoudrez de quelques étoiles
poivrez et mettez les voiles
Où voulez vous donc en venir ?
A écrire Vraiment ? A écrire ? "
Raymond Queneau Pour un art poétique
Pour en savoir plus, c'est ici ...mais c'est en grec .
mardi 27 octobre 2015
Reçu de Marcelle Simon
Cliquer sur l'image pour lire le texte
Francis Ponge bien sûr !!!
Merci Marcelle alias Miss Yves, pour ce très bel envoi, jolie gravure ....
Marcelle à un très joli blog : Meli-mailart
riche, varié ...
lundi 26 octobre 2015
Pour Kurt Stiliachus
" Ne fermez pas vos portes, orgueilleuses bibliothèques,
Car ce qui manquait sur vos rayons bien remplis, mais dont on
a bien besoin, Je l’apporte,
Au sortir de la guerre, j’ai fait un livre
Les mots de mon livre, rien; son âme, tout;
Un livre isolé, sans attache, avec les autres, point senti avec l’entendement.
Mais à chaque page, vous allez tressaillir de choses qu’on n’a pas dites."
Car ce qui manquait sur vos rayons bien remplis, mais dont on
a bien besoin, Je l’apporte,
Au sortir de la guerre, j’ai fait un livre
Les mots de mon livre, rien; son âme, tout;
Un livre isolé, sans attache, avec les autres, point senti avec l’entendement.
Mais à chaque page, vous allez tressaillir de choses qu’on n’a pas dites."
Walt Whitman Feuilles d’herbes
Reçu de Daniel de Culla
Thanks Daniel for the " The poetry of the devil..."
" Listen:
Drag branches comeback
Across the forest floor:
Knowledge of the rough¡
At water’s edge
I gather some things up:
Memory of nothing.
We’ve the time to give the Babel Tower
A close reading.
Awful good, Tú
As Roy A. Rappaport’s
Ritual... as Communication and as State.
Our preferences might be
Toward more emphasis
On species places:
Smooth textures of dead wood
Knowledge of our hands on arms
The body-art of bullshit
Drinking cocoa
And tend to the faith
With a Vampire’s short stick
That smells of infinite urine.
..."
Daniel de Culla Memory of nothing
Full text here
dimanche 25 octobre 2015
Reçu de Jean Paul Podevin
" Ô mes frères, voici le beau temps des vacances !
Le mois d'août, appelé par dix mois d'espérances !
De bien loin votre aîné ; je ne puis oublier
Août et ses jeux riants ; alors, pauvre écolier,
Je veux voir mon pays, notre petit domaine ;
Et toujours le mois d'août au logis nous ramène,
Tant un coeur qui nourrit un regret insensé,
Un coeur tendre s'abuse et vit dans le passé !
Voici le beau mois d'août : en courses, camarades !
La chasse le matin, et le soir les baignades !
Vraiment, pour une année, à peine nos parents
Nous ont-ils reconnus : vous si forts et si grands,
Moi courbé, moi pensif - Ô changements contraires !
La jeunesse vous cherche, elle me fuit, mes frères ;
Gaîment vous dépensez vos jours sans les compter,
Econome du temps je voudrais l'arrêter. -
Mais aux pierres du quai déjà la mer est haute :
Toi, mon plus jeune frère, allons ! gagnons la côte ;
En chemin par les blés tu liras tes leçons,
Ou bien tu cueilleras des mûres aux buissons.
Hâtons-nous ! le soleil nous brûle sur ces roches ! -
Ne sens-tu pas d'ici les vagues toutes proches ?
Et la mer ! l'entends-tu ? Vois-tu tous ces pêcheurs ?
N'entends-tu pas les cris et les bras des nageurs ?
Ah ! rendez-moi la mer et les bruits du rivage :
C'est là que s'éveilla mon enfance sauvage ;
Dans ces flots, orageux comme mon avenir,
Se reflètent ma vie et tout mon souvenir !
La mer ! J'aime la mer mugissante et houleuse,
Ou, comme en un bassin une liqueur huileuse,
La mer calme et d'argent ! Sur ses flancs écumeux
Quel plaisir de descendre et de bondir comme eux,
Ou, mollement bercé, retenant son haleine,
De céder comme une algue au flux qui vous entraîne !
Alors on ne voit plus que l'onde et que les cieux,
Les nuages dorés passant silencieux,
Et les oiseaux de mer, tous allongeant la tête
Et jetant un cri sourd en signe de tempête
Le mois d'août, appelé par dix mois d'espérances !
De bien loin votre aîné ; je ne puis oublier
Août et ses jeux riants ; alors, pauvre écolier,
Je veux voir mon pays, notre petit domaine ;
Et toujours le mois d'août au logis nous ramène,
Tant un coeur qui nourrit un regret insensé,
Un coeur tendre s'abuse et vit dans le passé !
Voici le beau mois d'août : en courses, camarades !
La chasse le matin, et le soir les baignades !
Vraiment, pour une année, à peine nos parents
Nous ont-ils reconnus : vous si forts et si grands,
Moi courbé, moi pensif - Ô changements contraires !
La jeunesse vous cherche, elle me fuit, mes frères ;
Gaîment vous dépensez vos jours sans les compter,
Econome du temps je voudrais l'arrêter. -
Mais aux pierres du quai déjà la mer est haute :
Toi, mon plus jeune frère, allons ! gagnons la côte ;
En chemin par les blés tu liras tes leçons,
Ou bien tu cueilleras des mûres aux buissons.
Hâtons-nous ! le soleil nous brûle sur ces roches ! -
Ne sens-tu pas d'ici les vagues toutes proches ?
Et la mer ! l'entends-tu ? Vois-tu tous ces pêcheurs ?
N'entends-tu pas les cris et les bras des nageurs ?
Ah ! rendez-moi la mer et les bruits du rivage :
C'est là que s'éveilla mon enfance sauvage ;
Dans ces flots, orageux comme mon avenir,
Se reflètent ma vie et tout mon souvenir !
La mer ! J'aime la mer mugissante et houleuse,
Ou, comme en un bassin une liqueur huileuse,
La mer calme et d'argent ! Sur ses flancs écumeux
Quel plaisir de descendre et de bondir comme eux,
Ou, mollement bercé, retenant son haleine,
De céder comme une algue au flux qui vous entraîne !
Alors on ne voit plus que l'onde et que les cieux,
Les nuages dorés passant silencieux,
Et les oiseaux de mer, tous allongeant la tête
Et jetant un cri sourd en signe de tempête
"...
Avec un extrait du poème d'Auguste Brizeux " Au mois d'Août ", que je n'ai pas mis en entier
Merci Jean Paul, un de ses ses appels :
Reçu de Corinne Parchantour
" Les cornes dressées
l'escargot glisse lentement
traces brillantes "
Corinne Parchantour
Merci Corinne (alias Lysemartin) pour ce très bel haïga, poétique et coloré
Le haïku est superbe
Corinne à plusieurs appels et galeries en cours, en voici un :
samedi 24 octobre 2015
Reçu de Richard Baudet
" Seules les traces font rêver "
René Char
J'ajouterais, comme Jean Giraudoux :
" Nos traces en ce monde sont les plus lourdes, là où nos pas furent les plus légers."
Merci Richard pour cette participation.
Appel en cours de Richard : Fiat Lux
Sa galerie est ici
Reçu de Thérèse Waryn
Cliquez sur l'image pour lire le poème
De la poésie, encore et toujours : Jules Beaulac, poète et homme d'église québecois ...
Merci Thérèse pour cette découverte.
Le blog de thérèse, " Chez Mizou", est accessible dans la blog roll également
Ses appels
*vaches rigolotes *
* mains *
* enseignes en fer forgé *
*ou tout autre à votre choix *
vendredi 23 octobre 2015
jeudi 22 octobre 2015
Pour Jaromir Svozilik
" Chacun d’eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu’un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d’un fantassin romain.
...
Et pendant quelques instants je m’obstinai à vouloir comprendre ce mystère ; mais bientôt l’irrésistible Indifférence s’abattit sur moi, et j’en fus plus lourdement accablé qu’ils ne l’étaient eux-mêmes par leurs écrasantes Chimères."
Charles Baudelaire Petits poèmes en prose, Chacun sa chimère
mercredi 21 octobre 2015
Reçu de Esther Kamkar
Esther est une poétesse née en Iran et vivant aux États-Unis, en Californie.
""Esther Kamkar's poetry is as changing as the ocean, as passionate
as a pomegranate tree in blossom, as deep and clear as a pool in a
mountain stream. Her poems are lovingly crafted, utterly honest, full of
evocative imagery and awakenings that bounce around in our
consciousness – to be enjoyed again and again, like a favorite book or
work of art. Esther Kamkar's wish? That her words may inspire you and
speak to your own poetic and artistic voice. Go ahead, immerse yourself
and enjoy."
John Waterman - 2005
Thanks so lot Esther
Le site de Esther est ici
Reçu de Ursu
Ursu a frappé fort, avec une " boîte " de poèmes et des documents passionnants avec des fac similé de documents sur les Fleurs du Mal
Un grand classique de Rimbaud, Voyelles, que j'ai aussi illustré sur mon blog Arts Galeries
Un magnifique haïku de Ryokan
Un grand classique de Rimbaud, Voyelles, que j'ai aussi illustré sur mon blog Arts Galeries
Celui-ci serait-il de toi Jean Paul ?
Et encore Rimbaud avec Ma Bohême, superbe
Merci Jean Paul pour ce recueil/boîte, varié, qui doit te ressembler quelque part ...
Merci Jean Paul pour ce recueil/boîte, varié, qui doit te ressembler quelque part ...
Et l'accueil de son blog ici
Inscription à :
Articles (Atom)